Guinée : ASTI–IRAG Fiche d’information 2014
Les dépenses en R&D agricole affichent une augmentation progressive depuis 2008, reflétant une intensification du soutien de l’État.
On constate également un accroissement régulier de l’effectif des chercheurs agricoles au cours des dernières années. Toutefois, deux tiers de ces chercheurs sont titulaires d’une licence/BSc et bon nombre des titulaires d’un doctorat approchent l’âge de la retraite.
République démocratique du Congo : ASTI–INERA Fiche d’information 2013
Malgré la forte croissance au cours des dernières années, les dépenses de R&D agricole de la RDC sont encore en deçà des niveaux requises pour subvenir aux besoins du pays. Le ratio dépenses/PIB agricole est parmi les plus bas en Afrique.
Les effectifs de chercheurs agricoles connaissent également une croissance rapide depuis quelques années, notamment à l’INERA et au CRAA. Cette croissance est due à l’augmentation des chercheurs de niveau licence/ BSc ou master/MSc.
République du Congo : ASTI–DGRST Fiche d’information
Depuis l’an 2000, avec le retour à la paix, les dépenses de R&D agricole n’ont cessé de croître avant de se stabiliser entre 2008 et 2011 ; à noter toutefois que les niveaux demeurent bien en-deçà des niveaux enregistrés avant la guerre.
On note, depuis 2000, un affaiblissement progressif de la capacité de recherche agricole des centres administrés par la DGRST qui s’explique par le départ à la retraite d’un grand nombre de chercheurs et d’un gel à long terme qui frappe le recrutement dans la fonction publique.
Burundi : ASTI–ISABU Fiche d’information 2014
Le Burundi a vu croître rapidement ses effectifs de chercheurs agricoles au cours des années 2008–2011, en raison d’un afflux considérable de jeunes scientifiques à l’ISABU et du retour au pays d’un grand nombre d’enseignants universitaires burundais.
Néanmoins, la qualité générale des ressources humaines allouées à la R&D agricole laisse fort à désirer, vu la faiblesse du contingent de titulaires d’un doctorat.
Burkina Faso : ASTI–INERA Fiche d’information 2014
On observe une évolution très erratique des dépenses en R&D agricole au cours des dernières années. Les salaires des chercheurs sont à la charge du Gouvernement, mais les frais d’exploitation et les immobilisations sont en grande partie fonction de l’inconstante aide au développement.
Le sous-investissement dans la R&D agricole est grave. En 2011, le Burkina Faso n’a investi que 0,42 % du PIB agricole dans la R&D agricole, soit un taux bien inférieur à l’objectif (1 %) fixé par le NEPAD et les Nations Unies.
Bénin : ASTI–INRAB Fiche d’information 2014
Entre 2000 et 2011, les dépenses consacrées à la R&D agricole au Bénin ont plus que doublé, principalement sous l’effet combiné d’une augmentation des revenus générés à l’interne de l’INRAB et d’une participation plus poussée de l’UAC à la R&D agricole.
Après une période de stagnation, le Bénin a connu une forte augmentation de l’effectif de ses chercheurs agricoles entre 2008 et 2011. Toutefois, le recrutement dans le secteur public étant soumis à des restrictions, l’INRAB n’a pu ni recruter à des postes permanents ni offrir les avantages y afférents.
Authors:
Kathleen Flaherty and Patricia Carmichael
Year:
2014
Publisher
International Food Policy Research Institute and Department of Agricultural Research and Specialist Services.
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Agricultural R&D spending in Swaziland decreased considerably between 2009 and 2011. The country’s main government agency, DARSS, is almost entirely supported by the government, but its funding— which was already comparatively small—declined in recent years. As a result, funding levels have only been sufficient to cover staff salaries. No capital investments were made in 2011, and operating costs were also cut, seriously compromising DARSS’s ability to conduct meaningful research.
Authors:
Kathleen Flaherty, Chandasa Koyelas, and Jairaj Ramkissoon
Year:
2014
Publisher
International Food Policy Research Institute and Food and Agricultural Research and Extension Institute.
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National spending on agricultural research grew during 2008–2011 due to increased salary expenses and capital investments at AREU, the country’s main government agricultural research agency. These investments were funded by the government and various donors.
Authors:
Kathleen Flaherty and Maleoa Mohloboli
Year:
2014
Publisher
International Food Policy Research Institute and Department of Agricultural Research.
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The national government provided almost all of the funding for agricultural R&D between 2009 and 2011; donor funding, although minimal, is still an important source of support for actual research activities.
From 2009 to 2011, agricultural R&D spending contracted by 34 percent as a result of declining government funding to DAR, the main agricultural research agency in the country.
Authors:
Gert-Jan Stads, Antonio Fortes, and Léa Vicky Magne Domgho
Year:
2014
Publisher
International Food Policy Research Institute and National Agricultural Research and Development Institute.
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INIDA is the only agency involved in agricultural R&D in Cabo Verde. Despite an increase in the number of MSc-qualified researchers in recent years, the institute lacks a critical mass of PhD-qualified researchers.
Agricultural R&D spending increased gradually between 2009 and 2011. Although Cabo Verde’s 2011 agricultural R&D intensity ratio (at 1.12 percent) was well above the African average—which is not uncommon for a small, arid country—more investment is needed, particularly in staff training and upgrades to research laboratories.