Authors:
Léa Vicky Magne Domgho, Lunze Lubanga et Gert-Jan Stads
Year:
2018
Publisher
International Food Policy Research Institute and Institut National pour l’Étude et la Recherche Agronomiques.
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Key trends
République démocratique du Congo : ASTI–INERA Fiche d’information 2018
Tendances clés
Entre 2009 et 2013, les dépenses de recherche agricole en RDC ont presque doublé (ajustées de l’inflation) par suite d’un effort du gouvernement pour revitaliser le secteur agricole et du lancement de projets financés par des bailleurs de fonds tels que le PDPC, le PARRSA et le PAPAKIN. Or, au cours des années plus récentes, le volume des investissements sur fonds publics dans la recherche agricole affiche une baisse constante.
Authors:
Léa Vicky Magne Domgho, Lunze Lubanga, and Gert-Jan Stads
Year:
2017
Publisher
International Food Policy Research Institute and National Agricultural Study and Research Institute
Back to:
Rapid rise in spending
République démocratique du Congo : ASTI–INERA Fiche d’information 2017
Forte hausse des dépenses
Suite aux efforts du gouvernement pour relancer le secteur agricole et au démarrage de plusieurs projets financés par des bailleurs de fonds, tels le PDPC, le PARRSA et le PAPAKIN, les dépenses de la recherche agricole de la RDC ont doublé (en termes corrigés de l’inflation) entre 2009 et 2014 ; exprimées comme pourcentage du PIBA, elles sont passées de 0,20 à 0,34%. Les investissements dans la recherche agricole demeurent en deçà de la cible de 1% fixée par l’UA et l’ONU et ne suffisent pas pour répondre aux besoins de la RDC.
Centre de Recherche en Hydrobiologie (CRH)
République démocratique du Congo : ASTI–INERA Fiche d’information 2013
Malgré la forte croissance au cours des dernières années, les dépenses de R&D agricole de la RDC sont encore en deçà des niveaux requises pour subvenir aux besoins du pays. Le ratio dépenses/PIB agricole est parmi les plus bas en Afrique.
Les effectifs de chercheurs agricoles connaissent également une croissance rapide depuis quelques années, notamment à l’INERA et au CRAA. Cette croissance est due à l’augmentation des chercheurs de niveau licence/ BSc ou master/MSc.