Authors:
Léa Vicky Magne Domgho, Antoine Kpodo et Gert-Jan Stads
Year:
2018
Publisher
International Food Policy Research Institute and Institut Togolais de Recherche Agronomique.
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Key trends
Togo : ASTI–ITRA Fiche d’information 2018
Tendances clés
Les dépenses de recherche agricole au Togo ont diminué de 70% entre 2000 et 2013, puis elles se sont quelque peu redressées. En 2016, le pays a consacré 1,9 milliards de francs CFA à la recherche agricole (prix constants de 2011), ce qui ne représente que 0,20% du PIBA.
Togo : ASTI–ITRA Fiche d’information 2017
Sous-investissement grave
Par suite d’une baisse de 65% des dépenses de recherche agricole entre 2000 et 2014, le Togo n’investit en 2014 que 0,17% de son PIBA dans la recherche agricole — résultat bien inférieur à la cible de 1% fixée par les Nations Unies et l’Union africaine. Comme l’ITRA affecte le gros de sa subvention d’État aux frais salariaux, il est lourdement tributaire des apports (ponctuels et à court terme) des bailleurs de fonds pour la conduite de ses programmes de recherche, ce qui en compromet la continuité et l’efficacité sur le long terme.
Authors:
Léa Vicky Magne Domgho, Antoine Kpodo, and Gert-Jan Stads
Year:
2017
Publisher
International Food Policy Research Institute and Togolese Agricultural Research Institute
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Severe underinvestment
La R&D Agricole au Togo : Une évaluation de l’Institut togolais de recherche agronomique
En 2013 et en 2014, le programme ASTI, le CORAF et des points focaux nationaux ont réalisé une évaluation approfondie des enjeux critiques relatifs aux capacités humaines, financières et institutionnelles auxquels doivent faire face l'ITRA.
Togo : ASTI–ITRA Fiche d’information 2014
Au cours de la période 2000–2011, les dépenses totales de la R&D agricole du Togo ont baissé de près de la moitié et, en 2011, le taux d’intensité (de 0,42 %) était de loin inférieur à l’objectif d’investissement (1 %) recommandé par le NEPAD et les Nations Unies.
Après une période de baisse soutenue, un concours de recrutement dans le secteur public en 2009 déclencha une rapide augmentation de l’effectif des chercheurs (pour la plupart munis d’un master/MSc).